Hydro-Québec présente son Rapport sur le développement durable 2010

Communiqué

Hydro-Québec présente son Rapport sur le développement durable 2010

logo_hydro.jpgMONTRÉAL, le 10 mai /CNW Telbec/ – Hydro-Québec est fière de présenter son Rapport sur le développement durable 2010, qui fait état de ses nombreuses initiatives dans le domaine.

« La vision d’Hydro-Québec en matière de développement durable va bien au-delà des questions de gestion environnementale; elle reflète une ferme volonté de permettre à nos partenaires d’exprimer leurs attentes et préoccupations tout en contribuant à la vitalité économique du Québec. À cet égard, nos projets doivent être rentables, acceptables du point de vue environnemental et favorablement accueillis par les communautés locales », a souligné Mme Stella Leney, directrice principale, Environnement et affaires corporatives, Hydro-Québec.


Quelques faits saillants 2010


Émissions évitées de gaz à effet de serre (GES) : des gestes concrets
L’entreprise publie en 2010 son premier bilan des émissions de GES liées à ses activités. Ce bilan fait état que les émissions liées aux activités d’Hydro-Québec sont largement inférieures aux émissions évitées, soit 16 fois plus faibles.

En effet, Hydro-Québec a contribué en 2010 à éviter l’émission de plus de 9 millions de tonnes de CO2, soit 13,6 milliers de tonnes grâce à l’efficacité énergétique et 9 050 milliers de tonnes grâce aux ventes hors Québec, qui ont remplacé sur les marchés externes une production à partir d’énergies fossiles. Ces émissions évitées représentent l’équivalent des émissions annuelles de 2,25 millions de véhicules.

Pour réduire les émissions de son parc de véhicules, l’entreprise a remplacé, en 2010, 236 véhicules légers par des véhicules moins énergivores, soit 42 % des véhicules remplacés. Cette mesure a permis de réduire de 72 305 litres la consommation annuelle de carburant et de 180 t éq. COles émissions de GES. 

Une vaste étude terminée en 2010 sur les émissions de GES au réservoir de l’Eastmain 1, menée par Hydro-Québec, l’Université McGill, l’Université du Québec à Montréal et la firme Environnement Illimité, a permis de conclure qu’une centrale située en zone boréale compte parmi les moyens de production qui génèrent le moins de GES. Au Québec, les émissions moyennes de la filière hydroélectrique sont comparables à celles de l’éolien, tandis que les émissions brutes des réservoirs sont comparables à celles des lacs naturels.

Un effort soutenu en efficacité énergétique
Avec des économies d’énergie récurrentes de 5,3 TWh, dont 989 GWh réalisées en 2010, Hydro-Québec est confiante d’atteindre l’objectif fixé à 11 TWh à l’horizon 2015.

Quelque 1,2 million de rapports de recommandations personnalisés ont été produits depuis le lancement du Diagnostic résidentiel MIEUX CONSOMMER en 2004, pour un potentiel d’économies annuelles de 368 GWh. En participant à ce programme, près de 1 000 collectivités locales et régionales ont reçu 10,4 M$ d’Hydro-Québec pour la réalisation de projets collectifs dans les domaines de l’environnement, de la culture, des sports, des loisirs, etc.

Par ailleurs, des économies de 13,2 GWh, supérieures à la prévision de 9,8 GWh, ont été réalisées en 2010, grâce au programme Rénovation énergétique pour les ménages à faible revenu.

Un développement responsable des énergies renouvelables
Par ses activités de recherche, d’innovation et de démonstration, Hydro-Québec participe à l’évolution des technologies liées à l’exploitation de diverses sources d’énergie renouvelable dont l’hydroélectricité. À la poursuite du développement hydroélectrique, avec les travaux au complexe de la Romaine et aux chantiers de l’Eastmain-1-A-Sarcelle-Rupert, s’ajoutent la sélection de 12 soumissions totalisant 291,4 MW pour l’achat d’énergie éolienne, l’approbation de six contrats pour la fourniture de 52,9 MW d’électricité produite à partir de biomasse et la contribution de l’entreprise à la mise en œuvre de deux prototypes d’hydroliennes dans le Saint-Laurent, près de Montréal.

Autre fait à souligner, en 2010, la National Association of Regulatory Utility Commissioners (NARUC) des États-Unis a reconnu l’hydroélectricité comme une énergie propre et renouvelable.

Des percées dans l’électrification des transports terrestres
Pour contribuer à l’avènement de l’électrification des transports terrestres, Hydro-Québec mise sur des atouts considérables tels qu’une énergie propre et renouvelable, un réseau fiable, une expertise reconnue et des technologies d’intérêt.

Dans le domaine des batteries, des progrès spectaculaires ont été réalisés dont l’augmentation de la puissance et de la durée de vie, ainsi que la réduction du temps de recharge.

Une centaine de systèmes de motorisation électrique de la filiale TM4 d’Hydro-Québec ont aussi été livrés au constructeur indien Tata Motors.

Enfin, mentionnons la contribution d’Hydro-Québec à la réalisation d’une étude de faisabilité d’un projet de navette ferroviaire électrique entre l’aéroport Montréal-Trudeau et le centre-ville de Montréal ainsi qu’à des projets de démonstration d’autobus électriques.

Pour plus d’information, nous vous invitons à consulter la version électronique du Rapport sur le développement durable 2010.  

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