Des chercheurs singapouriens et québécois créent les matériaux qui composeront les piles de la prochaine génération d’appareils électroniques et de véhicules électriques.
Des chercheurs de l’Institute of Bioengineering and Nanotechnology (IBN) de Singapour, de l’agence A*STAR et de l’Institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ) ont réalisé la synthèse de nanocubes de silicates qui pourrait doubler la capacité de stockage par rapport aux piles au lithium-ion conventionnelles avec cathode à base de phosphates. La percée réalisée pourrait marquer un tournant dans la course à l’autonomie dans les secteurs des véhicules électriques et des appareils mobiles.
Un groupe de chercheurs de l’institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ) travaille actuellement à mettre au point une batterie sécuritaire et économique destinée à entreposer l’énergie produite par des éoliennes. « Ce n’est pas un souci, on va pouvoir le faire dans deux à trois ans », lance Karim Zaghib, directeur du stockage et de la conversion d’énergie à l’Institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ).
SEI Corporation et l’Institut de recherche d’Hydro-Québec signent une entente de commercialisation conjointe de brevets visant une architecture d’électrode à faible coût
Selon l’article “Hydro-Québec prévoit un autre hiver difficile“, paru dans la Presse le 11 décembre dernier, Hydro-Québec ne cacherait son intérêt pour la solution de la mise à l’arrêt, à distance, des chauffe-eau et des systèmes de chauffage de sa clientèle, lorsque son réseau est très sollicité, en période de pointe hivernale. Ce contrôle à distance, qui serait rendu possible grâce au progrès de la domotique, se ferait sur une base volontaire. Hydro-Québec croit qu’elle sera en mesure d’appliquer ces mesures dès 2016-2017.