Suite à cette émission, Jean-Sébastien Trudel, fondateur de la firme Ellipsos et auteur du blogue “La prochaine évolution industrielle” a publié ce qui suit dans sa dernière lettre transmise à ses abonnés:
MONTRÉAL, le 18 févr. /CNW Telbec/ – Le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable du développement durable, M. Alan DeSousa, est heureux d’annoncer la participation de la Ville au mouvement L’Heure pour la Terre, et invite la population ainsi que les commerces, industries et institutions, à appuyer l’initiative en éteignant les lumières de leur demeure ou de leur entreprise le 27 mars prochain entre 20h30 et 21h30.
Située à Salaberry-De-Valleyfield, l’école primaire Dominique Savio participe depuis le mois de décembre dernier au projet Composterre, un projet de réduction et de valorisation des matières putrescibles, ainsi que de sensibilisation et de mobilisation des citoyens et des jeunes pour la conservation de l’environnement.
TORONTO, le 16 févr. /CNW/ – Mercedes-Benz Canada présente ses “voitures de demain” dans deux sites d’exposition spéciaux à Vancouver. C’est la première apparition de ces véhicules à zéro émission au Canada.
Chefs de file à l’échelle mondiale, ces véhicules Mercedes-Benz de Classe B à pile à combustible sont exposés au Oakridge Mall et au Edgewater Casino situés au centre-ville de Vancouver. Gardez aussi les yeux rivés sur la route car deux autres véhicules Mercedes-Benz F-CELL vont parcourir les rues de Vancouver en n’émettant que de la vapeur d’eau de leur tuyau d’échappement.
Acheter sa nourriture localement n’est pas une solution valable pour aider l’environnement
MONTRÉAL, le 16 févr. /CNW Telbec/ – L’achat local mesuré par le “kilométrage alimentaire”, c’est-à-dire la distance entre le lieu de production d’un aliment et son point de vente, est un mauvais indicateur de l’impact d’un produit sur l’environnement et ne constitue donc pas une mesure valable pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. C’est la conclusion d’une Note économique publiée aujourd’hui par l’Institut économique de Montréal et préparée par Pierre Desrochers, professeur associé de géographie à l’Université de Toronto Mississauga, en collaboration avec Hiroko Shimizu, consultante indépendante