Depuis la mise en production de mes panneaux solaires photovoltaïques, en Octobre 2013, mon pire mois de production aura été, jusqu’à présent, le mois de février qui vient tout juste de se terminer, avec une maigre production d’à peine 2,59 kWh. 

En février 2014,  le système était parvenu à produire 36,1 kWh .

Malgré de nombreuses journées ensoleillées il a suffit de quelques chutes de neige pour les mettre hors d’usage. Car, tel que je l’expliquais dans ce billet, les panneaux photovoltaïques n’ont pas besoin d’être complètement ensevelis sous la neige pour être neutralisés, ce qui n’est pas le cas avec les panneaux solaires thermiques.

On peut d’ailleurs remarquer que le panneau solaire thermique du chauffe-eau  situé également sur le toit s’en est plutôt bien tiré mais, malheureusement, il est inopérant depuis quelques semaines car un problème récurrent de chute de pression est réapparu. Ainsi, à chaque 2-3 mois, la pompe ne parvient plus à faire circuler le glycol dans le système à cause d’une pression trop basse dans le circuit. Tout semble indiquer qu’une fuite de se produit à quelque part dans le système. Le purgeur d’air a d’ailleurs été remplacé à l’automne dernier car on le suspectait mais, résolument, ça n’a pas solutionné le problème. Comme la fuite est très légère, il est difficile de la cerner.

Quant à lui, le chauffe-air solaire fixé au mur, fonctionne extrêmement bien ces temps-ci alors qu’il parvient à faire augmenter la  température de l’air aspiré d’environ 30 degrés celcius ( à un débit de 100 CFM -47 litres/seconde) , il est important de le mentionner. Un soleil bas à l’horizon et une belle couche de neige blanche immaculée au sol contribuent à maximiser son apport en rayons infrarouges.

Il ne reste plus qu’à espérer des journées plus chaudes afin de libérer les panneaux photovoltaïques et leur permettre de recommencer à produire. Car l’année à plutôt mal débutée avec une production d’environ 50 kWh alors que 105 kWh avaient déjà été produits en 2014, à la même période.