On en parle régulièrement dans les médias ces temps-ci depuis qu’elle est autorisée à circuler sur les routes du Québec (à certaines conditions ), mais qu’en est-il au juste de la voiture électrique ZENN (Zero Emission No Noise) ?. Selon le journal Métro, qui a eu la l’occasion de la mettre à l’essai, la ZENN ne serait pas de tout repos à conduire .
Reste qu’il ne faut peut-être pas trop en demander non plus, il faut bien commencer à quelque part. Je vous laisse juger de l’intérêt de la ZENN et des compromis que vous seriez prêt à faire pour conduire une telle voiture. Il faut toutefois se rappeler qu’il existe au moins une autre alternative si vous désirez conduire une voiture électrique sur le réseau routier québécois…
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Cliquer ici pour consulter l’essai de la ZENN
Citation intéressante tirée de l’article:
Cela fait dire à Pierre Lavallée, directeur du Centre d’expérimentation des véhicules électriques du Québec, que «ce n’est pas ça, la voiture électrique de demain». Pour lui, l’autorisation québécoise accordée aux vbv est «anodine», dans un contexte où le scooter électrique et le Segway ne sont toujours pas permis.
Rappelons que la majorité des États américains autorisent déjà les vbv sur les routes de 35 mph et moins. M. Lavallée conclut en soutenant que le vbv est à l’automobile ce que le poêle extérieur est à la maisonnée : «C’est comme si une famille qui compte déjà un four encastré, un micro-ondes et un BBQ décidait de se procurer un poêle extérieur pour faire des feux dans sa cour…»
Quand au journal de Journal de Montréal, voici ses impressions
| Un large triangle orange à l’arrière du véhicule rappelle aux automobilistes qu’ils peuvent dépasser la ZENN en tout temps puisqu’il s’agit d’un véhicule à basse vitesse. © Photo Pierre-Paul Poulin/Journal de Montréal |
Une version pouvant circuler à 125 km/h et ayant une autonomie de 400 km serait toutefois en préparation même si certains doutent du projet. Cliquer ici