CAA-Québec marquera un pas de plus en matière d’assistance routière en offrant la recharge mobile à ses membres qui ont adopté le véhicule électrique. Baptisé « Rechargez ici », ce service est un projet pilote qui permettra à CAA-Québec d’utiliser trois Hyundai IONIQ électriques, conçues spécialement pour la recharge. Les membres « à court de courant » pourront ainsi obtenir la poussée d’énergie nécessaire pour atteindre la borne la plus proche ou assurer leur retour à la maison.
Mis en œuvre grâce à l’implication de Hyundai Auto Canada Corp. et Club Auto, ce projet est de nature à rassurer davantage les propriétaires de véhicules électriques.
« Alors que de plus en plus de nos membres optent pour l’électrique, nous sommes conscients que leurs besoins évoluent, notamment en termes de recharge. Nous voulions leur offrir une solution tangible pour les accompagner et les rassurer, mais aussi pour leur lancer un signal clair : ce virage vers la mobilité responsable, nous y croyons et nous prenons les moyens pour le démontrer! », précise M. Pierre-Serge Labbé, vice-président des services automobiles chez CAA-Québec.
Quelques précisions sur le projet :
- La Hyundai IONIQ 2018 possède quelque 200 km d’autonomie.
- La IONIQ « donatrice » transfère une charge suffisante pour redonner jusqu’à 40 km d’autonomie en une vingtaine de minutes.
- Comme le véhicule utilise la charge de sa propre batterie pour le dépannage, son rayon d’action est limité. Le véhicule doit pouvoir revenir à sa base.
- CAA-Québec dispose de 3 véhicules : 2 à Montréal et 1 à Québec.
- Le déploiement se fera à Montréal, à Laval et à Québec (secteurs prédéterminés).
- Pour l’instant, les véhicules compatibles1 sont ceux dotés d’un connecteur combo : BMW i3 et i3 REX, Chevrolet Bolt EV, Ford Focus électrique, Hyundai IONIQ électrique et Volkswagen e-Golf.
« La mise à l’épreuve de cette technologie auprès de nos membres sera assurément riche en enseignements. C’est définitivement, un pas important que nous franchissons en matière d’assistance routière », souligne M. Labbé.